Polaris est un groupe de Metalcore australien créé en 2012 à Sydney. Il est actuellement constitué de Jamie Hails (chant), Ryan Siew (guitare lead), Rick Schneider (guitare rythmique), Jake Steinhauser (basse, chant) et Daniel Furnari (batterie).
Le groupe a réalisé à ce jour 2 EP (Dichotomy en 2013 et The Guilt & The Grief en 2016), et 1 album (The Mortal Coil en 2017).
The Mortal Coil, le premier album de Polaris
The Mortal Coil est le premier album de Polaris. Il a été publié le 3 novembre 2017 via Resist Records et SharpTone Records. Le groupe a été nominé en 2018 à l’ARIA Award dans la catégorie meilleur album Hard Rock / Heavy Metal.
De nombreux fans retrouvent une empreinte d’Architects et Northlane dans l’écriture de ce premier opus. Polaris a d’ailleurs eu l’honneur de tourner avec Architects lors de sa tournée européenne 2019 pour la promotion de son album Holy Hell.
La tracklist de The Mortal Coil :
01. Lucid
02. The Remedy
03. Relapse
04. Consume
05. Frailty
06. In Somnus Veritas
07. Dusk To Day
08. Casualty
09. The Slow Decay
10. Crooked Path
11. Sonder
The Slow Decay de Polaris
Comme expliqué plus haut, Polaris est un groupe dont l’ascension est fulgurante dans la scène Metalcore mondiale. Les compositions instrumentales sont super lourdes, très harmonieuses, les riffs sont vraiment accrocheurs, le mélange de cris et de chant est très bien réalisé, et on retrouve tout ce qui fait le succès de ce style de plus en plus démocratisé dans la scène Metal.
The Slow Decay ne fait pas exception à cette règle. Les cris de Jamie Hails sont perçants, on se prend vraiment une claque en plein visage durant plus de quatre minutes. La composition instrumentale tabasse sec, pas de riffs trop répétitifs, on ne s’ennuie pas du début à la fin. Le pont est parfaitement exploité, ce qui permet au morceau de redescendre en pression avant l’explosion finale, encore plus percutante. Un chef d’oeuvre à écouter sans modération. The Slow Decay traite du cycle de vie de l’être humain, et du regard porté par l’Homme sur la mort.
All the pain I earned, and the love I lost
Was the only truth; this all will someday soon return to dust