Formé en 2013 quelque part dans le Connecticut, Boundaries a passé près d’une décennie dans l’ombre et, à l’aube de son dixième anniversaire, s’apprête à faire un pas vers la lumière.
Le groupe fraîchement signé sur 3DOT Recordings, le label des métalleux progressifs de Periphery, propose un véritable concentré de Metalcore sombre, schizophrénique et épileptique sur son nouvel album, Burying Brightness, déjà disponible sur le site du label et toutes les plateformes que vous connaissez bien.
Cet opus (leur troisième) est plein d’énergie et de violence digne des meilleurs dans ce créneau du metalcore, plus du côté hardcore que du côté populaire, mélangeant les premiers travaux de Misery Signals, avec Killswitch Engage et une touche moderne, ce qui permet à Boundaries de se faire une place aux côtés de Varials, Counterparts, Kublai Khan et compagnie.
Le son du groupe est brut, et les cris du frontman sont plus proches d’aboiements graves et pleins de rage que de simples growls.
C’est sans aucun doute un album qui finira dans votre playlist pour le sport, la salle de fitness ou toute autre activité nécessitant une montée d’adrénaline.
Toutefois, au-delà du simple aspect musical, les paroles explorent des thèmes particulièrement sombres et plutôt déprimants, le chanteur Matthew McDougal abordant divers sujets autour des difficultés de la vie.
Pour avoir une bonne idée de ce à quoi vous pouvez vous attendre, nous vous recommandons d’écouter This Is What It’s Like. Mais attention, attachez votre ceinture, ça va secouer.
