Le guitariste australien Plini est récemment allé sur Twitter pour proposer la création de labels basés sur “l’éducation” plutôt que sur “l’exploitation”, dans l’espoir de changer l’industrie de la musique.
Il a déclaré :
Je veux lancer un label qui serait basé sur un principe éducatif plutôt que sur un principe d’exploitation. L’artiste gagnerait un pourcentage de propriété en échange de chaque tâche qu’il apprend et accomplit avec succès par lui-même, jusqu’à ce qu’il soit indépendant à 100%.
Un de ses fans a alors répondu :
Concept intéressant. Cela vaut la peine d’essayer, mais le mécanisme de revenu sous-jacent est toujours problématique pour l’ensemble de l’industrie. Peut-être y a-t-il un moyen de faire en sorte que les deux fonctionnent mieux ensemble ?
En répondant au commentaire susmentionné, Plini a ajouté :
Si les artistes cessaient de signer avec les grands labels, il serait beaucoup plus facile d’exiger de Spotify des taux de redevance plus équitables, etc.
Plini a sorti son nouvel album, Impulse Voices, le 27 novembre 2020.
Impulse Voices a été co-produit et mixé par Simon Grove. L’album met en vedette Chris Allison à la batterie, Simon Grove à la basse, avec des contributions de Dave Mackay au piano et au synthétiseur, John Waugh au saxophone, Amy Turk à la harpe électro-acoustique, et des productions supplémentaires de Devesh Dayal et Aleksandra Djelmash. Quant à l’artwork, il a été conçu par Alex Pryle, un collaborateur de longue date.
Post de Plini :
i wanna start a record label but it’s educational instead of exploitative and the artist earns % ownership back for each label task they successfully learn and complete on their own, until they’re 100% independent 🎓
— Plini (@plinirh) January 21, 2021
