Bien que l’ambitieuse série d’EPs Post Human de Bring Me The Horizon prenne plus de temps que prévu (le groupe avait initialement planifié de faire quatre disques différents en un an), Oli Sykes apprécie clairement la “liberté de création totale” que le projet leur offre, expliquant dans une nouvelle interview qu’il y aura quelque chose pour tout le monde en termes de musique.
S’exprimant sur 93xRadio [via Kerrang!], le frontman a expliqué en profondeur l’idée derrière la série Post Human. Il a déclaré :
Avec la pandémie et le télétravail, nous savions que nous n’allions pas pouvoir partir en tournée pendant un certain temps, et c’était donc le moment idéal pour expérimenter cette idée. Cela faisait des années que je disais que je ne voulais plus faire d’albums, et j’ai senti que le moment était venu de joindre le geste à la parole.
Il a continué :
L’idée est d’être aussi créatif que possible. Nous avons travaillé sur quatre EPs – Post Human : Survival Horror étant évidemment le premier – et chaque disque est tellement différent que nous pouvons faire tout ce que nous voulons. Il y aura quelque chose pour tout le monde. Si nous voulons faire quelque chose de dansant, d’électronique, nous avons un disque pour ça ; si nous voulons faire du Rock old-school, nous avons un autre disque pour ça ; si nous voulons faire quelque chose de plus emo, plus pop, nous avons un autre disque pour ça, etc.
Il a ajouté :
De plus, nous avons différents types de fans : il y a des fans de Bring Me The Horizon qui aiment amo, il y a des fans de Bring Me The Horizon qui aiment juste notre premier album… ce n’est pas comme si nous allions écrire des albums qui ressemblent à l’un d’entre eux, mais je comprends que certaines personnes veulent juste écouter de la putain de musique agressive, et que d’autres veulent écouter de la musique plus émotionnelle et tout ça. Nous sommes pareils ! Donc plutôt que d’essayer de tout rassembler dans un seul disque, je pense que Survival Horror [est une meilleure option]. C’est assez excitant pour nous ; ça nous donne une liberté créative totale.
Interview d’Oli Sykes pour 93xRadio :
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