Robert Plant a révélé les rêves qu’il a faits pendant le confinement, notamment ceux qu’il a faits avec John Bonham, le défunt batteur de Led Zeppelin, qu’il a décrits comme “de beaux moments de grand soulagement”.
Dans un récent épisode de Digging Deep, le podcast de Robert Plant, le chanteur a évoqué la manière dont la nature restrictive du confinement a conduit les gens à faire des rêves plus inhabituels.
Partageant ses expériences personnelles, il a expliqué que dans ses rêves pendant le confinement, il voyait des “paysages étonnants” avec des personnages de son passé, y compris le regretté John Bonham, mais aussi son fils Karac, qui est mort à l’âge de cinq ans en 1977 d’un virus de l’estomac.
Les rêves de Robert Plant
Robert Plant a déclaré : “J’ai rêvé que je retrouvais de vieux amis, comme John Bonham, comme mon père, mon fils qui est parti quand il avait cinq ans. Ça a été de merveilleux moments de grand soulagement.”
“La raison pour laquelle nous sommes ici maintenant [s’adressant au coanimateur Matt Everitt] est que nous aimons tous les deux ce que nous faisons, mais il y a un prix à payer pour cela. En même temps, c’est bien mieux que la comptabilité ou ce que nous aurions pu devenir.”
“Mais cela crée en moi une sorte d’énergie que j’ai dû déplacer dans une autre partie de mon être – la subjuguer, la mettre dans un coin. Parce que j’étais toujours en mouvement, toujours en train de planifier la prochaine étape. Il semble donc que lorsque je dors, je me trouve dans un endroit vraiment génial….. Je voyage […] je trace mon chemin à travers ces paysages incroyables.”
Robert Plant a ensuite expliqué comment il a vécu le confinement : “J’ai eu beaucoup de chance parce que mon voisin, qui vit à 30 mètres de chez moi – qui a joué avec moi et Bonzo [surnom de John Bonham] dans les années 1960 – est génial. Nous faisons partie d’un groupe. Et le fermier qui est né dans ma maison, vit actuellement de l’autre côté de la route et nous sommes devenus les plus grands copains – des parties de cartes qui durent éternellement !”.
