Paul Stanley est revenu sur l’impact des anciens membres de Kiss, notamment Ace Frehley et Peter Criss, affirmant que malgré les tensions passées, leur contribution au groupe reste indéniable.
Une carrière sans regrets
Invité du podcast Sound Up!, Paul Stanley a abordé l’héritage de Kiss et la place qu’occupent les anciens membres dans l’histoire du groupe. Il a expliqué qu’il ne nourrissait aucune rancœur et voyait son parcours sous un prisme positif : “Je ne vois pas beaucoup de négativité. Les gens parlent du verre à moitié vide ou à moitié plein. Moi, je le vois déborder. Je n’ai aucun souvenir négatif, car tout arrive pour une raison et fait partie du résultat final.”
Il ajoute : “Si vous vivez avec de l’amertume ou de la colère, c’est que vous n’êtes pas passé à autre chose. Je n’ai que du bien à dire sur tous ceux qui ont été dans le groupe. Nous n’aurions pas pu réussir sans eux.”
Ace Frehley et Peter Criss : une fondation essentielle
En évoquant plus précisément Ace Frehley et Peter Criss, Stanley a reconnu leur rôle clé dans le succès du groupe : “Tout le monde a apporté quelque chose, et Ace et Peter, plus que quiconque, sont les fondations de tout cela. Alors, quels que soient les conflits ou les tensions passées, je mets tout en perspective. Si vous gagnez à la loterie, vous ne vous plaignez pas des impôts.”
Malgré les critiques auxquelles Kiss a fait face au fil des années, Stanley estime que le groupe a toujours su séduire un large public : “Ceux qui nous ont méprisés ou n’ont pas compris ce que nous faisions sont passés à côté de quelque chose. Je trouve ça étrange d’avoir une réaction aussi virulente face à un groupe ou un artiste. C’est de la psychologie de base : ‘Wow, quel est votre problème ?'”
Avec la fin officielle de Kiss en décembre 2023 après le dernier concert à New York, Stanley semble vouloir retenir uniquement le positif d’une carrière qui a marqué l’histoire du rock.
