Papa Roach
F.E.A.R.

Pour cette review, j’ai choisi un album de Papa Roach car c’est un groupe que j’aime depuis ma tendre enfance. De plus, je trouve que le quatuor américain – composé de l’incroyable chanteur Jacoby Shaddix, du guitariste Jerry Horton, du bassiste/guitariste/pianiste Tobin Esperance et du batteur Tony Palermo – est tellement sous-estimé malgré la qualité de leurs albums.

J’ai donc choisi leur meilleur album (selon moi) : il s’agit de l’excellent F.E.A.R qui ne signifie pas “peur” comme certains pourraient le croire mais qui est un acronyme signifiant Face Everything And Rise (première chanson de l’album d’ailleurs).

Je lui ai attribué l’excellente note de 5/5 car il y a un vrai travail réalisé pour et sur cet album. Certains titres font office de retour aux origines – notamment les titres Broken As Me et Falling Apart, qui rappellent l’époque du titre Last Resort (2000). Chaque chanson est unique en son genre malgré le fait qu’elles aient toutes été réalisé par Papa Roach (ce qui fait un point commun à toutes les chansons). Certaines chansons ont, avouons-le, quelque chose que les autres n’ont pas : une sorte de différence qui les rend encore plus unique (War Over Me, Warriors, Skeletons). Toutes les chansons ont ces mélodies qui nous rentre dans la tête. Et, tous les refrains ont un rythme accrocheurs.

Et un album ne serait rien sans les musiciens : ces quatres musiciens ont un talent indeniable. J’aime particulièrement la voix de Jacoby Shaddix (qui reste l’un de mes héros n°1) ainsi que tous les petits bruits éléctroniques qui font de Papa Roach ce qu’est Papa Roach. J’apprécie également la guitare de Jerry Horton dans le titre Love Me Till It Hurts. Et que serait Papa Roach sans leur bassite et leur incroyable batteur.

Papa Roach a su, avec cet album, planté une graine qui s’est transformé en fleur magnifique (vendu à plusieurs milliers d’exemplaires).