Iron Maiden, groupe britannique originaire de Londres, au Royaume-Uni, créé en 1975, n’a cessé, depuis sa création, de sortir des albums et enchaîner les tournées à travers le monde. Mais Iron Maiden a connu d’avantage de succès avec l’arrivée de Bruce Dickinson en 1981 (en remplaçant Paul Di’Anno).
L’album Seventh son of a seventh son, sorti en 1988 sous le label EMI, est l’un des albums les plus connus de la carrière de Iron Maiden, et c’est celui-ci qui m’intéresse aujourd’hui.
Personnellement, je le trouve excellent (rien que par rapport à la note que je lui ai attribué). Je dirais qu’il représente la définition même de ce qu’est Iron Maiden.
Cet album est d’une finesse implacable et tellement pur grâce à une setlist des plus incroyable :
– Moonchild (qui fait office d’ouverture à cet album – une sacrée ouverture qui dure 5min40)
– Infinite Dreams (qui m’a fait verser une petite larme)
– Can I Play with Madness
– The Evil that Men Do (composé par Steve Harris, Bruce Dickinson et Adrian Smith)
– Seventh Son of a Seventh Son (un titre légendaire – ainsi que mon favoris – qu’on ne présente plus et qui dure 9min53)
– The Prophecy
– The Clairvoyant
– Only the Good Die Young
Ces titres font de Seventh Son of a Seventh Son ce qu’il est, c’est-à-dire un album de légende et qui ne mourra jamais parce que comme l’avait si bien dit le regretté Lemmy Killmister (de son vrai nom Ian Fraser Killmister), chanteur/bassiste de Mothörhead : “Rock’n’roll forever”.
Je terminerai ma chronique en parlant de la pochette. Comme toutes les pochettes de Iron Maiden, celle-ci est mystérieuse : on y voit un Eddie bionique, au milieu de l’océan coupé en deux et se tenant le coeur dans la main droite. Cette pochette est si mystique, si étrange qu’on peut se demander quel est le rapport entre la pochette est le titre de l’album.
Merci d’avoir lu ma chronique !
Ça me rappelle la fois où j’ai eu mon premier mangé cd.
Et pour en apprécier le son il me fallait un cd.
Le choix a été vite fait seventh son of a seventh son!!!
Cette ambiance aérienne planante a la limite du mystique.
Et ce titre “The Evil that Men Do”.
Je l’écoutait tout les matins avant d’aller en cours.
Le reste de l’album est vraiment très bon.
Merci pour ton commentaire.
The Evil that Men Do ne fais pas partie de mes chansons préférées de l’album mais je dois reconnaître qu’elle est bien. Ma chanson préférée est Seventh Son of a Seventh Son.
Le meilleur Maiden avec “The Number Of The Beast”. Très bon choix et excellente chronique.
Merci pour ton gentil commentaire. Je n’ai pas encore écouté The Number of the beast mais je l’écouterai étant donné que c’est un album de légende.
Avec le somehere in Time iron maiden était à l apogée. En France et avec un concert mythique à Bercy et 5 rappels, on savait tous que le prochain album sera très attendu et très critiqué. Pourquoi ? Car comme tout style et toute musique bcp de gens avaient marre de hégémonie et le glam rock et le thrash devenaient à la mode. Cet album je l ai attendu, je l ai même rêvé et quand il est arrivé je l ai adoré quand d autres l ont brûlé. Le rajout des synthés a été décrié, le 2e concert de Bercy était à moitié vide mais peu importe moi en haut de mes 20 ans j avais assisté au premier concert dans la fosse et jamais un concert me donnerait autant de magie ( comme certains avaient dit: après avoir vu ça, on peut mourir) . Aujourd’hui j écoute moins de hard rock, mais la face À de cet album ( hormis Can i play..) est pour moi le summum de la musique
Merci de ton commentaire. On est d’accord là dessus. Je n’étais pas né lors de sa sortie mais ça ne m’a pas empêché de le découvrir par la suite grâce à mon père, et je l’ai adoré. C’est un des 10 albums à emporter sur une île déserte et/ou à écouter avant de mourir. Selon moi cet album est l’un de leur meilleur.
Excellent album. “Can I play with madness” franchement un peu faiblarde mais que dire de “The evil that men do” et surtout “Infinite dreams”.
Petite remarque concernant la pochette : Eddie ne tient pas son coeur dans sa main droite mais un enfant à naître dans sa main gauche.
Cordialement
Merci pour ton commentaire. Et merci pour l’information concernant Eddie.
Slipknot28,
Cet album fait parti du tiercé qui m’a amené au métal (avec le “and justice for all” de Metallica et “keeper of the seven keys” d’Helloween) ! Je ne donc qu’approuver ton choix et valide ta chronique.
Plus tard j’ai découvert d’autres albums de la vierge de fer et avec le recul, ma préférence irait sur “powerslave”, “somewhere in time” ou “no prayer for the dying”. Mais “seventh son of a seventh son” est un très grand disque, pas de doute là-dessus !
Tetsuo_shima_73,
Personnellement les albums m’ayant amené au métal sont Rock In Rio de Maiden et Ride the lightning de Metallica. Avec le recul (malgré mon jeune âge) je dirais que je préfère Seventh Son of a Seventh Son et peut-être le Rock In Rio. Concernant Metallica, je suis on ne peut plus d’accord avec toi pour le …And justice for all qui est un album de légende et une référence incontournable dans le monde du trash métal.
Salut Slipknot28,
encore un très bon choix,ce Maiden est vraiment excellent,il est dans mon top 3 avec Number of the beast,Powerslave et Brave New World…ils sont toujours à l’affiche aujourd’hui, c’est dire le talent de ces musiciens…!
Hello Kingeddie.
Merci pour ton commentaire. C’est sûr, ils sont tellement talentueux faut dire. Tant les guitaristes qui joue encore le solo de Seventh Son of a Seventh Son à la perfection en enchaînant les riffs. Et comment ne pas parler de Bruce Dickinson qui, malgré sa maladie, a su se soigner et à encore de la voix. Nico Mcbrain est toujours aussi impressionnant et Steve Harris reste l’un des meilleurs bassistes au monde. Maiden ne mourra jamais !