La plupart des fans de Rush ont supposé que le groupe se séparerait après le décès du batteur, Neil Peart en janvier 2020. Le guitariste du groupe, Alex Lifeson, l’a maintenant confirmé, affirmant qu’il n’y a “aucune chance” que le groupe “existe à nouveau”.
Alex Lifeson n’a fait qu’une poignée d’apparitions sur scène depuis le dernier concert de Rush au Los Angeles’ Forum, le 1er août 2015. Il compte persévérer dans cette voie, notant qu’il envisagerait “une poignée de concerts spécifiques” avec son nouveau projet, Envy Of None, si l’intérêt est suffisant.
Alex Lifeson a définitivement exclu toute nouvelle prestation avec Geddy Lee sous le nom de Rush. Il a déclaré dans une interview avec Eddie Trunk pour SiriusXM : “Je pense, honnêtement, que Rush est mort en 2015. Il n’y a aucune chance que Rush existe à nouveau, parce que Neil [Peart] n’est plus là pour en faire partie. Ça ne veut pas dire que nous ne pouvons pas faire d’autres choses et que nous ne pouvons pas poursuivre d’autres projets. J’ai beaucoup de projets qui n’incluent pas nécessairement Geddy [Lee].”
Il a décrit sa relation avec Geddy Lee, qu’il a rencontré à l’adolescence : “Geddy et moi avons commencé à écrire ensemble quand nous avions 14 ans environ. Nous sommes les meilleurs amis du monde. J’aime tellement ce gars. Il est si important pour moi.”
“Quelle expérience incroyable de travailler ensemble, ainsi que d’être amis. Nous avons eu une si belle histoire et fait tant de grandes choses ensemble. Ce n’est pas vraiment un problème si, pour le reste de notre vie, nous restons simplement les meilleurs amis.”
À propos de son nouveau projet, Envy Of None
“Maiah Wynne [la chanteuse de Envy Of None] est beaucoup plus jeune que nous tous et elle adorerait partir sur la route et faire une vraie tournée. Mais pour l’instant, je n’ai pas vraiment envie de rester assis dans une chambre d’hôtel à regarder la télévision pendant 22 heures en attendant le concert de deux heures. Être sur scène ne me manque pas vraiment.”
“Je l’ai fait quelques fois depuis, dans des salles plus petites et pour des projets plus modestes, principalement des œuvres caritatives. C’est amusant quand c’est juste pour quelques centaines de personnes et ça ne me dérange pas. Mais pour faire une grosse production, je ne suis pas sûr. Je suis très paresseux de nature. Je ne sais pas si j’ai envie de replonger là-dedans.”
