The Amity Affliction entame un nouveau chapitre avec Jonathan Reeves, pendant qu’Ahren Stringer lance Self Checkout

à 12h13
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The Amity Affliction entame un nouveau chapitre avec Jonathan Reeves, pendant qu’Ahren Stringer lance Self Checkout
© Tetralens

The Amity Affliction revient avec un nouveau single intense, un nouveau bassiste… et un ancien membre prêt à rebondir dans un tout autre projet.

Un nouveau chapitre pour The Amity Affliction

Le groupe australien de metalcore vient de dévoiler All That I Remember, son premier single depuis l’éviction d’Ahren Stringer, membre fondateur et ex-bassiste/chanteur. Cette chanson, accompagnée d’un clip poignant, marque également les débuts officiels de Jonathan Reeves (ex-Kingdom Of Giants) au sein du groupe, désormais en charge des lignes de basse et des refrains en voix claire.

Dans un communiqué, Joel Birch, frontman du groupe, confie que les paroles du morceau s’inspirent directement de son histoire familiale douloureuse : “Ma mère n’a connu que l’abus et l’isolement, même dans la mort, puisqu’elle a coupé les ponts avec ses propres enfants. Elle est morte comme elle a vécu, paranoïaque et seule.”

Ses frères et sœurs, Beau et Chanel, se sont également exprimés au sujet de la vidéo pour donner leur point de vue sur cette relation fracturée. Un contexte personnel qui confère à la chanson une charge émotionnelle rare, appuyée par une instrumentation sobre mais percutante.

Ahren Stringer et Gus Farias s’unissent dans Self Checkout

Pendant que The Amity Affliction entame ce nouveau cycle, Ahren Stringer, écarté en février dernier après une période de troubles personnels, ne reste pas inactif. Comme l’a rapporté Blunt, il s’est associé à Gus Farias (ex-Volumes) pour former un nouveau groupe nommé Self Checkout.

Les deux musiciens ont en commun un parcours marqué par l’addiction, la santé mentale et les conflits internes. Ils décrivent ce projet comme un exutoire : “Nous avons vécu des vies similaires… On s’est juste dit qu’on allait faire un nouveau groupe ensemble.” L’objectif ? Explorer la rémission, briser les tabous liés aux troubles mentaux et proposer une musique hybride mêlant screams, mélodies, rap et autres expérimentations.

Actuellement en studio à Mexico, Self Checkout a déjà deux titres finalisés, et Stringer affirme disposer de treize chansons issues d’un projet solo abandonné. Il ajoute avec émotion : “On a une mauvaise réputation, parce qu’on est des addicts assumés… Mais on va prouver au monde qu’il se trompe sur nous.”

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