Bonjour à tous ceux qui liront ma chronique (en espérant qu’elle vous plaise).
Call of the wild, album sorti par Powerwolf en 2021 sous le label Napalm Records est un très bon album (il suffit de regarder la note que je lui ai attribué) et ce pour une très bonne raison.
Les 11 titres présents sur l’album sont tous meilleurs les uns que les autres. Mais selon moi, le meilleur titre est Beast Of Gévaudan qui représente la signature même du style de Powerwolf avec des riffs rapides et mélodiques. Cette chanson raconte l’histoire de la bête du Gévaudan, une bête qui serait un loup et qui aurait terrorisé les humains de 1764 à 1767. Cette chanson est très bonne puisque le groupe s’est vraiment investi dedans, tant musicalement que graphiquement parlant. Ils ont même fait un clip vidéo qui résume très bien ce qu’était la légende de la bête du Gévaudan.
Les autres titres ont tous des caractéristiques propres à eux. En effet, le titre Blood For Blood (Faoladh) ressemble à un titre de Alestorm car on dirait une vraie musique de pirate, notamment avec la présence de l’accordéon. Le titre Glaubenskraft est… orignial car Attila Dorn (chanteur) mélange le latin et l’allemand. Le titre Sermon of Swords est également très bon puisque l’ouverture de ce titre ressemble à une musique de film de type épique. Et certains titres dont Dancing with the dead ou encore Alive or Undead sont des morceaux taillés pour les lives.
Cet album est aussi ponctué par une très grande prestation des musiciens, notamment au niveau des guitares (je rappelle qu’il n’y a pas de bassiste dans Powerwolf) de Matthew et Charles Greywolf – les solos de guitares étant juste tous plus fantastiques les uns que les autres. Le batteur (Roel van Helden) est très bon et exploite vraiment toutes ses capacités de batteur, notamment sur les titres comme Beast of Gévaudan ou encore Glaubenskraft. Le claviériste qu’est Falk Maria Schlegel est toujours aussi bon et rajoute une note presque ”église” ce qui accentue encore plus le côté épique des titres de Powerwolf. Quant à Attila Dorn, il y a aussi une véritable prestation avec des notes hautes par moments et des notes plus graves.
Bravo à eux pour cet album tout simplement génial, qui rappelle parfois quelques mélodies de Blessed and Possessed (2015).
Je constate que King Eddie passe sa vie à la ramener, alors que c’est sensé être un avis personnel.
Je crois bien que tu m’as déjà fait la remarque dans ta review, je crois avoir bien compris… comme j’ai écrit une review tu pourras t’en donner à coeur joie, si MZ la publie…
Sans vouloir remettre en cause cette chronique,ni le bienfondé des arguments,il faut reconnaître que nos Teutons loup-garous en font des caisses et excellent dans le kitsch : c’est un parti pris comme un autre, surtout ne pas trop les prendre au sérieux, notamment avec the biste od djevaudane qui m’a bien fait rire malgré tout ( les occasions de se marrer ne sont pas si nombreuses !)… à relativiser malgré tout, c’est pas l’album du siècle, ça se saurait depuis le temps…
Je n’ai jamais dit que c’était l’album du siècle puisque selon moi c’est Holy Diver de Ronnie James Dio. Mais cet album est juste… fantastique de mon point de vue et je trouve qu’il n’exagère pas. Tu devrais écrire une chronique pour que je puisse voir et juger aussi.
Quand tu vois leurs clips (notamment le dernier, franchement c’est dur de garder son sérieux !), forcément c’est du second degré, d’un point de vue strictement musical, c’est vraiment dans la moyenne “basse”, surtout si ta référence est Holy Diver… mais j’ai déjà écrit une chronique sur Evanescence sur MZ, faut voir si elle est toujours consultable…