Dans une interview récemment publiée sur LouderSound.com, Wolf Hoffmann de Accept a répondu à diverses questions.
Lorsqu’on lui a demandé quel était le meilleur conseil qu’on lui ait donné, il a répondu :
Ma femme Gabby, qui était notre manager jusqu’à récemment, a veillé à ce que personne dans le groupe ne s’approche de la drogue. Nous avons toujours été très opposés à ce mode de vie. Croyez-le ou non, je n’ai jamais fumé un joint. C’est ainsi que nous avons survécu à ces folles années de Rock ‘N’ Roll de manière relativement saine.
Après 44 ans de carrière, on lui a demandé à quoi il attribuait le succès de Accept. Il a expliqué :
C’est dû à l’entêtement. C’est un ingrédient dont vous avez besoin pour aller n’importe où dans le showbusiness. Il faut du talent, mais surtout de la résilience. Il faut s’y mettre encore et encore – garder le cap. Il faut continuer à s’acharner.
Le dernier album de Accept, Too Mean To Die, est sorti le 29 janvier via Nuclear Blast. Il s’agit du premier disque du groupe sans le bassiste Peter Baltes, qui a quitté Accept en novembre 2018. Il a depuis été remplacé par Martin Motnik. Le groupe s’est également enrichi d’un troisième guitariste, Philip Shouse, qui a remplacé Uwe Lulis lors de la tournée Symphonic Terror de 2019, avant d’être invité à rejoindre le groupe de façon permanente.
Too Mean To Die a été enregistré à Nashville, au Tennessee, avec le producteur britannique Andy Sneap (Judas Priest, Megadeth), qui est responsable du son studio de Accept depuis 2010.
L’album précédent de Accept, The Rise Of Chaos de 2017, a marqué la première sortie du groupe avec M. Lulis et le batteur Christopher Williams, remplaçant respectivement Herman Frank et Stefan Schwarzmann.