Dans une nouvelle interview accordée au SDR Show, on a demandé au légendaire rocker Alice Cooper de décrire la première expérience qu’il a eue avec de la drogue.
Il a répondu :
La weed a été la première drogue [que j’ai prise], et c’était [avec] Jimi Hendrix. Après un concert, je suis allé les voir. Nous n’étions qu’un petit groupe de lycéens. Mais [les membres du groupe] ont dit : “Hey, venez dans notre chambre d’hôtel”. Nous étions assis sur son lit, et Jimi a dit, “Tiens, mec” [et il m’a passé le joint]. J’ai dit, “Ok”. Et puis il a mis une pièce dans le lit – c’était un lit vibrant. Il y avait, comme, huit personnes assises sur le lit. Et il a dit : “On est dans un vaisseau spatial”. Et j’ai dit, “Ok”.
L’année dernière, Alice a raconté à LouderSound.com sa “pire expérience” en matière de drogues :
J’étais à une fête à Detroit à l’époque où le THC était une grosse affaire. Tout le monde a pris ces gélules de substance très forte et non coupée, et tout le monde s’est évanoui. Je me suis réveillé à 3 heures du matin et il y avait 40 corps qui traînaient autour de moi, on aurait dit Jonestown. Je pensais que tout le monde était mort, sauf moi ! C’était le milieu de l’hiver, alors j’ai marché dans la neige pendant environ trois kilomètres avec juste une chemise pour redevenir normal. Au moment où je suis revenu, les gens commençaient à se réveiller. C’était vraiment terrifiant !
Alice Cooper est sobre depuis 1983, date à laquelle on lui a diagnostiqué une cirrhose. Il a renversé la situation en suivant un traitement et en renouant avec les racines chrétiennes de son enfance.
Le nouvel album studio d’Alice Cooper, Detroit Stories, est sorti le 26 février via earMUSIC. Nommé d’après la ville qui a lancé le groupe original d’Alice Cooper sur la route du succès, Detroit Stories suit Breadcrumbs, l’EP de 2019, comme un hommage moderne à la scène Rock & Roll la plus dure et la plus folle qui soit.
