L’ancien frontman de Bad Wolves, Tommy Vext, a porté plainte contre son ancien manager, Allen Kovac, PDG et fondateur de Better Noise Music.
Le procès a été intenté pour rupture de contrat et manquement à l’obligation fiduciaire, et le défendeur Kovac serait poursuivi pour plus de 10 millions de dollars.
Le chanteur, dont le licenciement du groupe est intervenu au tout début de cette année, a également affirmé qu’il y avait eu une conspiration pour le faire virer du groupe, selon TMZ (via Loudwire).
Vext affirme que Kovac, qui a également été identifié comme l’un des cofondateurs de Bad Wolves, lui a dit qu’il n’était pas “assez noir” pour faire partie du groupe en raison de ses idéologies politiques et de son soutien au désormais ex-président Trump.
Vext affirme également que Kovac a ouvertement utilisé des insultes raciales, et a conçu un plan d’action pour forcer le chanteur à quitter le groupe.
Avant son éviction, Vext a fait la une des journaux pour avoir soutenu publiquement la candidature de Donald Trump à la réélection présidentielle, tout en exprimant ses doutes quant à la gravité de la pandémie de coronavirus et des mesures de confinement qui ont suivi. Selon le rapport de TMZ, Vext et Kovac se sont opposés sur ces idéologies politiques.
L’action en justice affirme également que Kovac, qui avait de l’influence dans l’industrie musicale, a contacté les services de radio et de streaming pour qu’ils cessent de diffuser la musique de Bad Wolves.
Une autre allégation contre Kovac est qu’il y aurait eu une tentative de censurer Vext et de l’empêcher de faire des déclarations politiques publiques. Il est également dit que le manager a fait une tentative ratée pour acheter le groupe.
Vext a offert un entretien exclusif à TMZ et a également célébré la couverture médiatique du procès dans un post Instagram.
Kovac a depuis répondu sur les réseaux sociaux en niant toutes les allégations.
Plus d’informations sur cette affaire prochainement.
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