Dream Theater : 5 chansons les plus difficiles à jouer en live !

à 13 h 04 min
Lecture 3 min.

Dream Theater a annoncé que son nouvel et 15e album, A View From The Top Of The World, sortira le 22 octobre, via InsideOutMusic/Sony Music.

Dans une récente interview accordée à Revolver Mag, le bassiste de Dream Theater, John Myung, a parlé des chansons qu’il considère comme les plus difficiles à interpréter en concert.

Dream Theater : 5 chansons les plus difficiles à jouer en live :

À lire aussi : Dagoba dévoile le clip vidéo de la nouvelle chanson Cerberus (de son prochain album Different Breed)

Scene Seven: I. The Dance Of Eternity – Metropolis Pt. 2: Scenes From A Memory (1999) :

“The Dance Of Eternity est une chanson instrumentale compliquée, remplie d’unissons de guitare, de clavier et de basse tout au long de la chanson, et elle est également très énergique et dynamique. La construction du solo de basse au milieu de la chanson a toujours été un défi pour moi.”

Breaking All Illusions – A Dramatic Turn Of Events (2011) :

“C’est une épopée de 12 minutes qui commence par une ligne de guitare et de clavier à l’unisson, puis la basse et la batterie se joignent avec un groove syncopé. Le défi ici est de mémoriser toutes les différentes sections de la chanson. Souvent, je me souviens des parties en me basant sur la façon dont nous les avons décrites en écrivant la chanson. Une autre partie difficile de la chanson peut être le mouvement de base où la basse suit la progression du clavier à la fin. Comme le mouvement de base se déplace lentement, une fausse note est beaucoup plus évidente qu’une ligne qui se déplace rapidement – c’est donc un bon exemple de partie qui semble facile, mais seulement si vous la connaissez.”

The Glass Prison – Six Degrees Of Inner Turbulence (2002) :

“L’intro commence par une basse harmonique dans une ligne de basse en accords. Le défi consiste ici à être préparé, détendu et échauffé pour jouer ce morceau, sinon il ne sonnera pas juste.”

As I Am – Train Of Thought (2003) :

“La chanson commence par un riff de distorsion harmonique sur la basse – pour moi, cela a toujours été un défi à jouer en live car cela dépend du bon fonctionnement de mon équipement. C’est un bon exemple des effets sonores utilisés sur la basse, qui sont tout aussi importants que la partie jouée pour qu’elle sonne bien.”

A View From The Top Of The World – A View From The Top Of The World (2021) :

“Ce qui en fait un défi pour moi, c’est que c’est une épopée de 20 minutes, donc l’aspect mémorisation est la première partie du défi. Ensuite, il y a certaines sections sur lesquelles je dois me concentrer. Par exemple, il y a une section classique de type Mozart qui se produit dans la deuxième moitié de la chanson. C’est le genre de section qui demande un peu d’entraînement, mais lorsqu’on la sort de son contexte, elle devient un petit exercice amusant en soi.”

Source : revolvermag.com
Articles les plus récents
Articles les plus vus
Plus d'actus sur Dream Theater
L'actu Metal Progressif