Richie Faulkner, guitariste actuel de Judas Priest et leader du supergroupe Elegant Weapons, déclare que même si jouer avec Glenn Tipton et K.K. Downing lors de la cérémonie d’intronisation au Rock And Roll Hall Of Fame de l’année dernière a été une expérience “formidable”, il n’est pas prévu ce line-up revienne de sitôt.
Après la performance spéciale de l’année dernière, des rumeurs ont commencé à circuler selon lesquelles K.K. Downing pourrait revenir travailler au sein de Judas Priest, le temps ayant peut-être apaisé le conflit entre les musiciens. Mais il semble que ce ne soit pas le cas.
En parlant de cela sur Rock Of Nations avec Dave Kinchen et Shane McEachernn, il a déclaré : “Il n’y a pas eu de discussion [sur le fait de rejouer avec Downing]. Je pense que si cela avait dû se faire, nous en aurions parlé au moment [de la performance au Rock & Roll HOF], mais rien de tel ne s’est produit.”
Il a ajouté : “C’était génial de jouer avec Ken et Glenn ensemble – et avec Les aussi, évidemment ; j’avais déjà joué avec Les auparavant. C’était génial de faire partie de cette offensive à trois guitares. Si cela se reproduit, c’est super. Si ce n’est pas le cas, je serai heureux d’en avoir fait partie.”
D’autre part, le mois dernier, Faulkner a dit que le nouvel album de Judas Priest était “presque terminé”.
En effet, Faulkner a déclaré à The Metal Voice : “Les chansons sont presque terminées. Elles existent depuis un petit moment maintenant. Nous n’avons pas eu la possibilité de nous réunir et de les enregistrer à cause de la pandémie de coronavirus. Et lorsque la pandémie s’est terminée, nous sommes partis sur la route. Nous avons donc dû enregistrer les morceaux en fonction de nos déplacements. Mais nous avons quand même réussi à le faire. […] À présent, Rob [Halford] s’occupe des voix. Et c’est presque terminé.”
Plus tard dans l’interview, il a également parlé de la direction musicale, qui a précédemment été décrite comme “progressive”.
Parlant de la structure des chansons, il a noté : “Elles ne se contentent pas de rester sur les rails ; parfois, elles s’aventurent un peu plus loin… Comme le faisait Priest dans les années 70, avec Sinner et d’autres choses du même genre. Ils avaient pour habitude de proposer un voyage musical plus poussé. Ce que je trouve génial – c’est intéressant.”
