Lors d’une récente émission sur Q104.3 New York, le guitariste de Journey, Neal Schon, a évoqué son parcours musical et la façon dont il a été engagé comme guitariste de Santana alors qu’il n’était qu’un adolescent.
L’interview complète de Neal Schon et le titre No One To Depend On de Santana sont disponibles ci-dessous !
À la question : “Quel âge aviez-vous lorsque vous avez rejoint Santana ?”, Neal Schon a répondu : “J’avais 15 ans et demi, presque 16 ans. Je fais un film, je ne sais pas exactement quand il sortira, mais il s’est passé beaucoup de choses intéressantes, évidemment, musicalement, mais il s’agit de tout ce voyage.”
“Carlos Santana, dont je suis très proche, il est devenu un meilleur ami que lorsque nous traînions ensemble quand j’étais très jeune, il m’a convaincu d’écrire mon histoire, l’histoire de mon ascension et de mon jeu avec lui – mon histoire, sans concession.”
“Jouer avec lui, l’histoire que nous avons vécue et ensuite la création de Journey, et tout ce qui s’est passé. C’est une histoire vraiment intéressante.”
À propos de Journey et de Santana III
“La politique s’est mise en travers du chemin. Tout le monde voulait en savoir plus, et pour une raison quelconque à l’époque, beaucoup de membres du groupe ne voulaient pas que je sois dans deux groupes, et le management ne voulait certainement pas que je sois dans deux groupes…”
Jouer aux côtés de Carlos Santana
“J’ai absolument adoré. J’adorais le groupe Santana, c’était mon premier amour, quelle que soit la line-up. Les membres du groupe étaient si extraordinaires et après avoir été loin d’eux pendant tant d’années, j’ai vraiment réalisé… J’ai réalisé à quel point ils étaient célèbres dans le monde entier.”
“Dans tous les pays que vous voulez. Je sortais du lycée, je venais d’abandonner l’université et je les ai rejoints, et j’étais bouche bée, et je me disais : ‘Wow, c’est incroyable’. Un jour, nous étions au Ghana, en Afrique, et partout ailleurs, nous étions partout, et tout le monde connaissait la musique, et le groupe était tellement incroyable.”
“Musicalement, il n’y avait rien qu’ils ne pouvaient pas jouer à fond. Et toute cette section rythmique était comme une locomotive, mec, ça démarre, et si tu ne peux pas jouer de la guitare solo là-dessus, tu ne sais pas jouer.”
