Jonathan Davis, chanteur de Korn, a commenté l’impact du plus gros tube de son groupe, Freak On A Leash, et de l’album sur lequel il figure, Follow The Leader, et s’est attardé sur les techniques peu conventionnelles utilisées par Ross Robinson en tant que coach vocal lors des sessions d’enregistrement.
Au fil des ans, Freak On A Leash est devenue la deuxième chanson la plus jouée de Korn en concert, et a recueilli plus de 310 millions de streams sur Spotify et plus de 245 millions de vues sur YouTube. Malgré tout, Davis se souvient que Korn n’était qu’une bande de “gamins, vivant leurs rêves de Rock ‘n’ roll” à l’époque.
Dans une nouvelle interview pour Metal Hammer, il a déclaré : “Tout le monde était complètement cinglé. Alcooliques, drogués… Je me souviens de tous ces excès : nous étions des gosses, vivant nos rêves de Rock ‘N’ Roll. On s’amusait comme des fous.”
En parlant spécifiquement de Freak On A Leash, il a poursuivi : “Beaucoup de chansons de Korn sont bonnes, mais celle-ci semble être celle que les gens écoutent le plus et à laquelle ils s’identifient vraiment.”
Bien que Ross Robinson n’ait pas été impliqué dans la production de l’album (en tant qu’ingénieur du son) cette fois-ci, il était présent en tant que coach vocal, mettant souvent en œuvre des techniques peu communes, comme s’en souvient Davis : “Pendant Freak On A Leash, Ross enfonçait ses ongles dans mon dos ! C’était vraiment bizarre et tordu. Arrivé à ce stade, je me suis dit : ‘J’en ai ma claque, c’est vraiment débile’.”
Korn et Evanescence sont actuellement en tournée aux États-Unis, et lors de la nuit de la première date (à Denver, dans le Colorado), Lee a rejoint Korn pour interpréter Freak On A Leash en fin de concert. Vous pouvez regarder la performance en cliquant ici !
Du reste, tout récemment, le bassiste Fieldy a repris du service après une longue pause, mais pas avec le célèbre groupe de Nu Metal.
Korn a publié son dernier album, Requiem, le 4 février via Loma Vista Recordings.
L’album a débuté à la 14ème place du Billboard 200 après s’être vendu à près de 20 000 exemplaires (dont environ 14 000 copies physiques) au cours de sa première semaine de sortie aux États-Unis.
Le groupe a célébré l’arrivée du disque avec un événement spécial le 3 février à la Hollywood United Methodist Church à Los Angeles, en Californie.
