Philip Anselmo de Pantera révèle les conséquences du passage de l’ouragan Ida

à 18 h 14 min
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Philip Anselmo de Pantera révèle les conséquences du passage de l'ouragan Ida
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Philip Anselmo, le chanteur de Pantera, a partagé une photo des environs de sa maison inondée en Louisiane, après que l’ouragan Ida a dévasté le sud de l’État et privé un million de personnes d’électricité.

Récemment, Philip Anselmo a publié la photo sur ses réseaux sociaux et a écrit : “2 septembre 2021 – conséquences de l’ouragan Ida #hurricaneida #ida”.

Le cinquième ouragan le plus puissant à avoir frappé les États-Unis a touché le sud de la Louisiane le 29 août, apportant pluie et inondations avant de se déplacer vers le nord et l’est, vers le Mississippi et l’Alabama, le jour suivant.

Au moins neuf décès ont été signalés en Louisiane à la fin de la semaine dernière, mais les responsables politiques craignent que le nombre soit en réalité beaucoup plus élevé.

Les ouragans en Louisiane

La semaine dernière, un homme a été attaqué par un alligator en Louisiane. L’attaque s’est produite près de Slidell, en face du lac Pontchartrain, en face de la Nouvelle-Orléans. L’homme a perdu son bras et a disparu dans les eaux en crue, selon les autorités.

L’ouragan Ida, qui a touché terre près de Port Fourchon, en Louisiane, en tant qu’ouragan de catégorie 4 avec des vents maximums de plus de 240 km/h, a suscité des comparaisons avec l’ouragan Katrina de 2005, qui a frappé la Nouvelle-Orléans, tuant plus de 1 800 personnes et devenant l’une des tempêtes les plus tragiques et les plus coûteuses de l’histoire américaine.

Au moment où l’ouragan Katrina a frappé, Philip Anselmo était en train de lutter contre les drogues dures pour qu’un médecin puisse l’opérer du dos. Pendant sa cure de désintoxication, il a partagé son temps entre Houston et Waco, au Texas, avant de pouvoir rentrer chez lui trois mois plus tard.

Dans une interview de 2005, Philip a évoqué les conséquences de l’ouragan Katrina : “Je suis restée coincé dans une chambre d’hôtel pendant deux semaines et demie à Houston, au Texas, avec mon Rottweiler, mon autre chien et mon chat […]. Je n’étais même pas sûr qu’il allait s’en sortir à cause du traumatisme, mais c’est un solide bâtard”.

“J’étais entouré de toutes sortes de personnes différentes de la Nouvelle-Orléans, qui étaient de la classe ouvrière, qui gagnaient un salaire hebdomadaire juste pour acheter de la nourriture et payer le loyer, et tout ce qu’ils avaient avait disparu. Rien que de penser à la ville, à sa culture, à ses personnages, juste aux groupes qui sont sortis d’ici au cours des 20 dernières années, dispersés et littéralement emportés.”

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Post de Philip Anselmo :

Source : blabbermouth.net
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