Le claviériste Derek Sherinian, connu pour son travail avec des groupes renommés tels que Dream Theater et Sons Of Apollo, s’est lancé dans un nouveau voyage musical avec son dernier projet, Whom Gods Destroy.
Après la dissolution (officieuse) de Sons Of Apollo en raison de divers engagements et de l’impact du COVID-19, Sherinian et le guitariste Ron “Bumblefoot” Thal ont décidé d’aller de l’avant avec un nouveau projet, en faisant appel au chanteur croate Dino Jelusick.
Leur premier album, Insanium, sorti le 15 mars 2024, marque le début de ce que Sherinian espère être une longue et fructueuse carrière pour Whom Gods Destroy.
Dans une interview accordée à Blabbermouth.net, Sherinian a parlé de la transition entre Sons Of Apollo et le nouveau groupe, soulignant l’énergie positive qui entoure le projet et l’excitation générée par le remarquable talent vocal de Jelusick.
Réfléchissant à la décision d’aller de l’avant avec Whom Gods Destroy, Sherinian a exprimé son optimisme quant à l’avenir, tout en respectant les activités de ses anciens collègues. Il a souligné l’alchimie du groupe et le buzz international qu’il a déjà généré, signalant un début prometteur pour ce nouveau projet musical.
Il a notamment déclaré : “J’ai considéré le COVID comme l’occasion parfaite de clore le chapitre [Sons Of Apollo] et d’aller de l’avant avec quelque chose de nouveau et de frais, avec de nouveaux musiciens, mais en conservant l’alchimie et l’ambiance que j’avais avec Ron dans Sons Of Apollo. C’est aussi simple que ça.”
Il a ajouté : “Il n’y a pas de problème, pas de mal. Il n’y a pas d’animosité et tout s’est bien passé pour tout le monde. Mike [Portnoy] est de retour dans Dream Theater et c’est ce qu’il voulait. Je lui souhaite le meilleur. Je souhaite le meilleur à Billy [Sheehan] et Jeff [Scott Soto], et Ron et moi sommes très enthousiastes à propos de ce nouveau groupe, parce qu’il déchire tout et que tout le monde est époustouflé par cette musique. Le groupe fait l’objet d’un énorme buzz international. Je ne vois que du positif.”
